jeudi 27 février 2020

Mobilité rêvée et cependant ancillaire en Méditerranée


La Nuit des idées, une manifestation internationale pour réfléchir, consacrait cette année à Aix (le 30 janvier 2020) un de ses deux thèmes à "être vivant sur les rives de la Méditerranée". Pour ceux qui auront le temps d'écouter le résultat de recherches universitaires sur les migrations et le marché du travail au sein du bassin méditerranéen (et au-delà), il est intéressant de découvrir les interventions de deux conférenciers de cette soirée :

  • Mustapha El Miri  parle de "Bouger, c’est vivre" et montre que les migrants (ou leurs miroirs, les expatriés) sont surtout à la recherche d'une maîtrise de leur projet de vie. 
  • Taher Labadi (beaucoup plus confus, hélas), s'intéresse dans "Ceux qui vivent sont ceux qui luttent" aux travailleurs migrants au sein du Moyen-Orient. A travers l'exemple de la Jordanie, il montre que ces migrants, petits rouages d'une économie de la mobilité, sont bénéfiques au pays d'origine (par leurs transferts) et de destination (par leur force de travail), mais sont souvent mal payés et sans droits.
(Proposé par Victor Giudicelli) 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire